
Le sentier était divisé en trois sections : le premier tiers était un habitat humide longeant un ruisseau avec beaucoup de mousse et d'arbres de morts. Un super terrain de jeu pour les champis ! Le deuxième tiers était plus en altitude avec des caps rocheux, encore de la mousse et un mélange de jeunes feuillus et de conifères. Le dernier tiers longeait une érablière, pas nécessairement le meilleur habitat à champis mais j'ai quand même pu observer quelques espèces intéressantes, ne serait-ce que par leur nombre astronomique !










