L'hygrophore pudibond (Hygrophorus pudorinus) poussait en très grande quantité, parfois plusieurs dizaines ou même une centaine dans le même secteur. On le reconnait à son chapeau d'un rose très pâle et à ses lames épaisses et très espacées. Nous n'en avons pas cueilli car je doutais de sa comestibilité.
L'armillaire commun (Armillaria ostoyae) était au rendez-vous. On le retrouve en grande quantité en fin de saison et on le reconnaît à son chapeau garni de petites écailles brunes et à son anneau cotonneux. On ne cueille que les chapeaux des jeunes spécimens (à peine ouverts) et on doit bien les cuire pour éliminer les toxines qu'ils contiennent.
Ces pleurotes tesselés (Hypsizygus tessulatus) ont été difficiles à identifier puisque c'était la première fois que je les rencontrais et je n'avais pas amené mon livre d'identification, sans compter qu'ils ont un nom très variable selon les sources ! On les reconnait au motif de gouttes d'eau sur le chapeau et par le fait qu'ils poussent sur le bois de feuillus. Ils sont de comestibilité inconnue selon McNeil, mais bon comestible selon MycoQuébec. Ils étaient effectivement délicieux.
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